Une invasion surprise

Le 25 au soir, pendant le repas, les élèves et les profs se réunissent tous dans la grande salle pour se remettre d'un réveillon pas mal arrosé. Tout se passait à merveille, le repas était succulent, les élèves chahutaient entre eux dans la joie et la bonne humeur quand, tout à coup les portes de la grande s’ouvrit à la volée....

"CORACLES EN FORMATION !"

Nous approchions des grandes portes. Les premiers coracles volants imprimèrent un mouvement de balancier au bélier.

Un seul coup suffit, et les portes s'ouvrirent à la volée.

Le bélier continua sa course et, au fur à mesure de son avancée, il se transformait en une multitude de Billywigs. Une nuée bleu se propagea le long des tablées comme un raz-de-marée.

La flotille des coracles volants pénétra à son tour dans la Grande salle. 
Les 6 premiers rejoignirent les ailes de la formation.

Je pris alors la tête, à bord de mon propre coracle flottant à trois mètres du sol.


Remontant l'allée principale, j'ordonnais une première salve.

Les quatre petits bateaux derrière moi déclenchèrent leurs balistes, et commencèrent à projeter des Bombabouses, des yeux de tritons et de la pâtée pour chaton.

Les quatre suivants atterrirent sur les tables et une première vague de blaireaux, chevauchés par des rats noirs, se mit à semer la zizanie parmi les plats et les pichets.

"FEU À VOLONTÉ"

Les quatre coracles équipés de balistes furent rejoints par les six premiers. ceux-là, on les avait armé d'arbalètes très spéciales.

En guise de carreaux, elles tiraient des boules puantes, des pétards, des étoiles filants, des FeuFuseboum et des friandises de toutes sortes.

La charge des Billywigs commençait à faire sentir ses effets, les élèves piqués entraient en lévitation, et je fit signe au coracle amiral à l'arrière de prendre le commandement de la flotte et continuais mon inexorable avancée vers la grande table des professeurs.

Carl avait regardais en retrais le débarquement de sa flotte. Enid, sa seconde, avait menée la première vagues avec succès. Les Bombabouses et toutes les autres surprise touchèrent une première rangé d'élèves qui s’écroulèrent au sol.

Désormais il était temps pour Carl de prendre le commandement des opérations, les blaireau avait réussi à distraire toute la salle et la puissance de Poufsouffle se remarquait enfin.

- Vous deux épauler le vaisseau du second! Ordonna t-il à deux CORACLES qui se trouvait prés de lui. Les prof commençait à reprendre leurs esprit et ils devaient pas gâché la fêtes. Et pour éviter ça Enid devait réussir son coup.

Je regardais le chaos s'installer dans la Grande Salle.

Ces coracles de peaux aux couleurs de Poufsouffle étaient de vrais petites merveilles, et je m'y connais, dirigés d'une main de maître, ou plusieurs à ce qu'il semblait.

Une des embarcations filait droit sur nous, en prenant de la vitesse.

Dans l'anarchie ambiante, je n'arrivais pas à distinguer qui était à bord.

Hystory était à la fête, assis à une table, entouré de ses amis et de personnes qu'il ne connaissait pas encore ou pas bien et qu'il voulait rencontrer! Tout le monde parlait, certains avait l'air fatigués, d'autres énervés et d'autres riaient. Quand soudain, un son abominable se fit entendre dans le couloir, tout le monde se taisait, il y'avait juste moi, qui riait encore, quand soudain la porte s'ouvrit avec une force, Hystory se retourna et BAM! Une Bombabouse tomba devant lui!

"Non mais c'est quoi ça?!" dit-le jeune homme.

Des bateaux avait envahi la salle. Des bateaux.. Hystory hallucinait.

Voyant que certains élèves lançait un protego. Il fit de même. Il avança un peu, pour voir qui était aux commandes. Quand soudain, son talent de prédiction, lui fit comprendre que des poufsouffles étaient impliqués là dedans. Mais son don, n'a pas su l'éclairer plus sur le moment. Hystory essaya d'éviter les quelques projectiles, avant d'avancer plus loin.

Concentrée sur mon objectif, indifférente à la débâcle que provoquait Ludo et son armada, j'approchai du but, traversant les élèves en lévitation et les projectiles.

Les professeurs n'en prirent conscience que lorsque mon petit rafiot, lancé à pleine vitesse, ne fut plus qu'à un mètre cinquante de la grande table.

Le fond racla contre le plateau de bois. Butant contre un grand bol de dinde froide, le coracle gita, me projetant sur une bordée.
Il continua sa course en tournoyant comme une toupie, éjectant les plats et les cruches les plus légers (qui assommaient les enseignants au passage), rebondissant contre les plus lourds. La nourriture qui volait en tous sens ensevelissait les professeurs.

J'étais ballotée et tentait de maintenir l'élan jusqu'au bout.

Une embardée plus brutale me fit heurter le banc, et une douleur fulgurante au côté gauche m'arracha un hurlement.

Enfin, le petit esquif s'immobilisa à quelques centimètres du nez de Mari Kerlouan.

Malgré la douleur, je me redressais, m'appuyant sur une rame comme sur une béquille ; je me mis au garde à vous, face à ma tante :

"À vos ordres Capitaine !"

Ce fut là ma dernière action d'éclat pour la soirée, car la douleur des côtes certainement brisées me fit perdre conscience, et je m'effondrais dans un compotier.

La soirée s’annonçait festifs et marantes. Carl vit sont second tomber dans les vape au moment ou elle avait réussi sa mission. le jeune homme n'avait jamais abandonnée un amis dans la détresse.

- A tout les bateau, continuer d'inonder cette salle de tout les objet puants qui vous reste. Les blaireaux faite moi courir tout ce petit monde. Carl donnant ses ordre tout en agitant sa baguette pour continuer de faire déferlait les CORACLES dans la grande salle et pour contrôler les actions des petit blaireaux en liberté.

Certain Poufsouffles réussirent à monter à bort des CORACLES et prirent le contrôle de ces dernières pour porté mains fortes à Carl. Le loup garou riait tellement qui s'en fessait mal au ventre. Il dirigea son embarcation vers la tables des prof pour récupérer Enid.

Shani était en train de s'empiffrer lors du banquet de Noël avec plusieurs de ses condisciples quand un grand fracas se fit entendre. Elle ne pût s'empêcher de sursauter assez violemment: ce genre de bruits n'était pas courant, même à Poudlard. Et ce qui suivit n'était pas non plus commun... Des bateaux? Très vite, ces derniers attaquèrent les élèves avec des Bombabouses et autres projectiles tout aussi odorants... Beaucoup d'élèves se protégeaient à coup de Protego. Shani, quant à elle, passa à l'offensive: elle lança tout ce qui était à sa portée vers les bateaux d'origine inconnue. Mais elle se doutait que ce n'était qu'une vaste plaisanterie, mais de qui? Elle ne parvenait pas à voir les assaillants...

Pour cette soirée de fête, Gerdos avait reçut l'autorisation des enseignants et de son peuples, pour participer au repas du réveillons. Le centaures en était ravis, il avait la la chance d'observer les humains lors d'un repas pendants une de leur fête stupides. Une place lui avait était faite à la table des serdaigles qui étaient ravis d'avoir un centaures à leur table. Gerdos fut submergé de questions sur la divination et sur l'arts de la créations de potions, il prit plaisir de voir des humains aussi attaché à la cultures et au savoir.

Mais, d'un coup, les portes de la grande salle s'ouvrit à la volée. Gerdos pensa à une intrusion de centaures mais c'était autre chose.... Des bateau volants qui catapultais des substance malodorantes dans la salle. Le centaure en évita quelques une avant de se servir de son corps massif pour protégé une jeune Serdaigles. Il était désormais recouvert d'un liquide verdâtre, il tendit ses bras et attrapa l'embarcation la plus proche pour la réduire en miettes.

- Tout sa c'est signée dit il en approchant de victoire pour la protéger avec son corps. Cette saleté de loup à dut enrôler d'autre fous dans son sillages. Il brisa une autre embarcation. Cette plaisanterie n'était pas à son gout et il allait botter le cul de Carl dés qu'il le reverrait.

Lya regarda avec admiration les vaisseaux de Poufsouffle faire une arrivée triomphale dans la Grande Salle. Elle en avait entendu parler en trainant dans sa salle commune, mais elle ne pensait pas que ce serait aussi énorme.
Certains élèves lançaient des Protego, Lya, elle, riait aux éclats. Elle se glissa sous sa table, de manière à passer inaperçu, et leva elle sa baguette.
- Aguamenti! lança-t-elle en dirigeant sa baguette vers la table des professeurs.
Aussitôt, un puissant jet d'eau aspergea les professeurs. Elle recommença l'opération plusieurs fois, jusqu'à que tous les professeurs soient trempés jusqu'aux os, puis elle s'extirpa de dessous la table et reprit sa place, comme si de rien n'était.

Le dîner était encore une fois excellent. Irina se resservi de tarte meringué, et failli lâcher sa part lorsqu'elle vit des bateaux envahirent la Grande Salle. Elle reprit ses esprits bien vite, et haussa les épaules. On était dans une école de magie, ce devait sûrement être normal, voir une sorte de tradition. Sans se soucier des personnes paniquant tout autour d'elle, Irina mordit dans sa part de tarte.

Les Poufsouffles qui se trouvaient autours de leur grande table commençait à prendre part à cette attaque surprise. Les professeur étaient submergé de toute parts et ne savait plus quoi faire pour arrêter cette invasion.
Après avoir monter Enid dans le vaisseau amiral, Carl se précipita dans la grande salle tout en lançant des sortilèges pour désarmé les petit malins qui essayer de se protéger. Personne n’échapperait à cette farce. Une fois arrivé prêt de Lya, Carl la prit par la main et la tira sous la table.

- Bien jouée! Dit il en lui déposant un délicats baiser sur les lèvres. Mais tu peut encore faire mieux . Il avait un large sourire. Tu peut verrouillait toute les portes de sortie de la grande salle?

- Bien sûr, Carl! répondit-elle tout de suite.
Elle voulait se surpasser pour lui. Elle dirigea sa baguette vers les portes de la Grande Salle.
- Collaporta!
Il y eut une sorte de bruit de succion, et les portes se verrouillèrent.
- Voilà, c'est fait Carl, dit Lya en souriant.

Je repris conscience quelques instants, juste le temps de vomir par-dessus bord (mais dans quel bateau étais-je ?), sur deux Serdaigle qui tentaient de prendre la fuite. Je replongeais bientôt dans un monde de ténèbres.

Gerdos en était persuader. Carl n'avait peut être pas eu l'idée d'organiser tout ça mais il avait tout mis en place et il devait surement dirigé les opérations. Le centaures restait toujours devant Victoire tout en observant les lieux, il aperçut sa cible sous une table. Il était avec avec en charmante compagnie et Gerdos allait se faire un plaisir de gâcher tout ça.

- Victoire, occupe toi de lui. Il sortit une sorte de boules de terre de sa sacoche qu'il portait en bandoulières. Fait attention, ce sont des puces ensorcelé qui s’accrochent sur la peau et qui provoque d'atroce démangeaison. Il se mit à rire. Le fait d'imaginer Carl entrain de se débattre avec ses petite bestiole lui donnait une immense satisfactions

Carl fut surpris de voir débarquer Victoire sous la table. Lya avait bien verrouillé les portes comme il lui avait demandé mais le jeune homme était perplexe sur les intentions de la Gryffondor.
Il la vue rejoindre Gerdos et il comprit vite qu'un mauvais coup ce préparer. Mais d'un coup Carl fut prit de démangeaison terrible et il ne put s’empêcher de se gratté. Il y aller tellement forts qu'il commençait à ce faire saigner.

- Tue cette puce!! Il connaissait bien ces démangeaison. Carl avait vu certain centaure élever des puces magique capable de ça. Malheureusement, cette puces ne pouvait être tuée que par l'eau.

Il avait pas eu le temps de donnée cette information à sa petite amies, il se gratté tellement qu'il lui était impossible de parler.

Carl hurlait, mais Lya ne savait que faire, et la jeune fille était envahie par un profond sentiment d'impuissance. Ce sentiment fut renforcer quand elle vit que son petit ami saignait.
- Accio puce! hurla-t-elle, en espérant que ça marche.

Carl se cognait la tête sur la table tout en se relevant. Il fut prit d'un léger tournis mais la douleur que lui provoquait cette maudite puce le garda sur ces jambe. Lya essayer tans bien que mal à l'aider mais elle utiliser pas le bon sortilège. Le jeune homme sauta sur la table, il renversa toute les carafe d'eau et il se roula dedans.

Les démangeaison c'était arrêté instantanément; il scruta la salle et il vit que la petite face des pouffi' était bientôt terminé. Les barque était presque tous au sol et les prof commençait à faire disparaitre les blaireaux qui continué de courire partout.

- Lya, déverrouille les portes et fait sortir le maximum de Poufsouffle. Carl savait bien que tout les Poufsouffle présent dans la grande salle passeront toute l'année en retenue.

"À vos ordres, Capitaine !"

La jeune fille qui émergea du coracle qui venait de s'immobiliser devant moi après avoir dévasté la Grande Table n'était autre que ma nièce. Je l'aurai reconnu entre mille, sans même l'avoir déjà vu auparavant, tant elle ressemblait trait pour trait à sa mère.
Elle s'était visiblement blessée, et tomba dans un compotier, inconsciente.

Un bateau un peu plus grand fonça alors à son tour sur nous. Je vis le jeune homme à son bord faire léviter la petite jusqu'à lui avant de se jeter à nouveau dans la mêlée.

Les Poufsouffle étaient entré en action, les plus hardis montant dans les embarcations, d'autres dirigeants les bataillons de blaireaux, d'autres encore lançaient des sorts depuis dessous les bancs et la table.

Il aurait fallu se méfier du blaireau qui sommeille...

Les autres professeurs commençaient à sortir de leur stupeur et intervenir.
J'hésitais. J'avais été aux quatre cents coups moi aussi pendant toute ma scolarité, en Bretagne. Il devait encore y avoir de la mousse carnivore qui poussait dans les douves du château de Comper...
Tout le monde avait pu voir les deux fauteurs de troubles, et le soulèvement des Poufsouffle. Je soupirais, il n'allait pas être facile de plaider leur cause, à ces deux zigotos.

- Alhomora! cria la jeune fille.
Aussitôt, la porte s'ouvrit et un flot d'élèves sortirent dans la salle.
- Les Poufsouffles! hurla Lya en lançant des étincelles jaunes avec sa baguette.
Les plus anciens élèves savaient que signifiaient ces étincelles, et ils se rassemblèrent puis sortirent tous en même temps. Mais les premiers et les deuxièmes années ne comprenaient pas. Lya grimpa sur la table, enjamba les plats et les assiettes, et prit une petite Poufsouffle à part.
- Tu vas dire à tes camarades qu'ils faut qu'ils s'enfuit maintenant, sinon ils vont tous être collés. Allez!
La petite fille s'exécuta très vite, et Lya l'aida en transportant un première année sur ses épaules.

La grande salle se vida à fur et à mesure. Il ne resterait bientôt plus de Poufsouffle dans le coins ce qui éviterait une punition collectif. Il s'avança au devant des professeurs avec un grand sourire, ils étaient trempé de la tête au pied mais ils commençait à reprendre le contrôle de la situations.

- Bon; je suppose que je suis collé? Il avait un large sourire et cette petite diversion permettrait au autres de fuir.

Lya avait réussi à sortir de la Grande Salle à temps, plusieurs gamins accrochés à ses mains. Elle leur demanda de regagner leur salle commune au plus vite. Elle regarda par la porte, et vit Carl, seul, face aux professeurs. Elle hésitait à aller le rejoindre, avant d'être attiré par les pleurs d'un minuscule première année. En soupirant, la jeune fille lui prit la main, le leva et le ramena à la salle commune.

Le jeune homme se dressait tout seul devant nous, arrogant et fier.

Sans même consulter le directeur, j'y vis la chance de récompenser sans le montrer cet élève et ses complices.

- Bien sûr ! Vous avez bien trop d'énergie, et je veillerais à bien l'employer. Première retenue le soir de la rentrée. 21 heures dans mon bureau. Et prévenez ma nièce quand elle se réveillera qu'elle aussi est convoquée. En fait, amenez tous vos compagnons avec vous, je compte sur votre honnêteté.