Qui suis-je ? La réponse est en moi. Voici la réponse type que tout le monde reçoit à cette question. Mais moi je me demande. Comment la trouver ?

Je me nomme Carl Grant. Un nom ordinaire pour un adolescent ordinaire. Mais c’est sans compter sur quelques particularités qui me rendent presque unique. Vous voulez connaitre la première ? Je suis un sorcier ! Oui vous avez bien attendu, je suis un sorcier ! Un pur-sang comme certains aiment appeler les sorciers issus de deux parents sorciers. Mais qui parmi nous peut être sûr que sa famille est au sang pur ? Personne.
Si je fouille dans mon arbre généalogique je trouverai peut être un ancêtre facteur, ou même un vendeur de perceuse. Qui sait ? Et puis mes parents pensent que tous les êtres, magiques ou non, sont égaux. On a pratiquement tous deux jambes, une tête et deux bras. Mais passons sur ce terme qui me donne la nausée de toute manière.

Je suis né à Londres, tout comme la plupart des membres de la famille Grant. En fait on est une famille de sorciers ordinaires si on ne compte pas la fortune colossale des Grant. Mais, une telle fortune nous sert si peu. Les Grant n’aiment pas étaler aux yeux de tous leur richesse, sauf deux ou trois vielles de la famille, personne ne dispose de manoir grandiose ou autre.  Je pense même que la seul bâtisse de valeur bin c’est moi qui l’ai héritée. Le manoir au jaune d’œuf.                              Mes parents n’ont même jamais utilisé leurs richesses.  Sauf pour me protéger… Car je dispose d’une autre particularité, je suis un loup garou ! Oui je sais ça fait beaucoup de nouvelle à la fois mais je devais te le dire, cher journal.
Tu voudrais surement savoir comment cela est arrivé ? Je vais tout te dire. C’était une journée assez calme. Mes parents était partis pique-niquer dans un bois  qui était traverser par une rivière d’eau chaude.   Ce jour-là je n’étais qu’un enfant, un bébé pour être franc.   Mes parant avais déposé mon couffins au sol et eux, ils se sont  étendus sur une couverture et pris par l’excitation et l’ambiance romantique des lieux, ils ont fait ce que toutes personnes adultes font quand ils se sentent bien.                Pris    par leurs ébats amoureux, ni mon père ni ma mère ne vit approché le danger.   La nuit était tombée si vite, et la pleine lune avait ouvert ses bras à toutes les créatures magiques.    Un loup garou, s’approcha de mon couffin et il me tira hors de mon sommeil. Il tenait mon petit mollet grassouillet entre ses crocs quand mon père, alerté par mes pleurs, fit face à cette scène.  La bête, attiré par le meilleur repas que pouvait apporté mon père me lâcha violemment au sol mais, une lueur de rage et de folie traversa le regard de mon père.    Il venait de comprendre ce qui allait m’arriver, je me transformerais, chaque pleine lune, en une bête… Prit par la rage il tua le loup dans une tel sauvagerie que  l’endroit si paisible quelques heures plus tôt c’était transformée en bain de sang.      Ma mère s’était penchée sur moi. Elle avait commencé à prononcer des formules  de soins magiques, oui mes parents étaient de grands sorciers. Si grand qu’il refusa de m’abandonner à mon triste sort. Mon père… Un homme bon et généreux, se fit une promesse.    M’apprendre à contrôler cette bête qui vivait en moi désormais, apprendre à vivre avec elle et non à  la combattre !  Mais, les loups étaient mal vus à cette époque et pour me protéger, mes parents prirent la décision de s’occuper de mon apprentissage  magique tout en restant cachés aux yeux du monde.   Voilà à quoi leur a servit leur fortune, à protéger leur enfant    contre le monde, à tout faire pour qu’il puisse vivre sans se soucier du mal qu’il pourrait faire les soirs de pleine lune…
Dix-sept  ans, voilà le temps qu’il avait fallu pour m’apprendre à contrôler la bête en moi…  Dix-sept longues année à fuir, à ne me faisant aucun ami, en écoutant les échos de voix et l’histoire macabre sur les loups garou. En jugeant par moi-même des préjugés des gens… Et le tout en attaquant qu'une seule humaine... Ma sœur!  Mais, le monde bouge. Une certaine Hermione Granger fit voter une loi autorisant les loups garou, ainsi que les autres créatures magique hybride ou non, à venir étudier à Poudlard.                                                                                     Mes parent ont jugé bon de me laisser voler de mes propres ailes, de vivre ma vie d’adolescent normalement. Donc c’est ainsi que je suis arrivé à Poudlard

Mon premier jour à Poudlard fut un jour avant la rentrée officielle. Tous les élèves loup garou enregistrés cette année avaient été convoqués par la directrice de l’école.  Pourquoi ? Je n’en savais rien mais je devais m'y rendre… Les parents furent accueillis dans une salle à part et nous autres, les loups, entraient dans une salle immense. Je ne savais pas que cette salle était la grande salle, mais vous voyez bien là que les sorciers ne sont pas doués pour trouver des noms de salle.  Enfin bref, je me plaçai au milieu de la foule. Sur l’estrade on pouvait y voir la directrice et un employé du ministère chargé de notre surveillance… Même avec cette loi, nous n’allions pas être libres de nos mouvements.
J’appris vite que les soirs de pleines lunes les loups garou seraient parqués comme du bétail dans un secteur de la forêt interdite. Et pour couronner le tout, le ministère avait dû accordé des concessions aux centaures qui vivaient là-bas. En échange d’un bout de territoire en plus et l’acceptation d’un des leurs à Poudlard, ils accepteraient ces loups garous sur leur territoire de chasse.

C’est donc ainsi. Les soirs de pleine lune je devrais me rendre dans la forêt interdite et attendre qu’une barrière magique se referme sur nous…  Je devrais m’en contenter. Et puis apparemment j’étais le seul loup garou à savoir me contrôler ici…
Lors de la première nuit de pleine lune, je fis la rencontre de Gerdos. Le jeune centaure qui avait était désignée pour étudier au château.  Il comprit vite que je n’étais pas comme les autres loups. Peut-être était-ce dû au fait que je n’avais pas sauté sur lui. Il devina vite l’existence de mon contrôle sur la bête. Bien évidemment, nous sommes devenus amis. A vrai dire j’étais le seul loup aux poils rouge et qui était bien plus grand que la moyenne à des kilomètre à la ronde. Donc cela à dû éveiller sa curiosité de centaure.

Par la suite je fis la rencontre d’un prof. Professeur de défense contre les forces du mal Ludo Smith ! Il m’apprit à contrôler d’avantage la bête en moi et c’est ainsi que je peux désormais me métamorphoser à la demande.