Le plans d'Enid était plutôt facile à mettre en place. Il suffisait juste de glisser les elfe de maison dans les tonneau pour les conduire en sécurité dans les appartement de Carl. Au moment ou les filles avaient finit de placer délicatement les petit elfes dans les barrique, Carl déposa à son tour l'elfe témoin.
Il passa sa baguette au dessus de chaque tonneaux pour verrouiller chaque couvercle tout en protégeant des chocs les petites créatures. Ils devaient faire rouler les tonneau et non les faire léviter pour éviter d'attiré de nouveau ce maudit fantôme.
- Bon écouter moi. Il renversa chaque tonneau sur le coté tout en souriants. Nous allons camoufler sous un sort de désillusion 11 de ses barriques. Nous les ensorcèlerons pour qu'ils nous suivent à la trace. Par contre, les deux autres vous devraient les faire rouler...
Voilà ou était la difficulté. Carl avait le droit de trainer dans les couloirs mais, pas les filles. Il leur expliqua que si ils se fessaient surprendre il pourrait prétendre qu'il les avaient puni pour avoir transgressez le couvre feu. Une fois son plans mis en place et expliquer, il ensorcela 11 tonneau tout en regardant les filles se mettre en place.
- Bon allons y et essayer de paraitre énerve par votre sort. Ceci devrait être facile. Carl avait la plus facile partie du plans.
Carl avait son plan. Il ne nous restait plus qu'à le suivre à la lettre. Et à être attentives à la moindre consigne.
En parlant de consigne, faire la tronche parce qu'on a été puni par son meilleur pote était suffisamment crédible pour que le plan fonctionne. Alors je me mis de suite à tirer une tête de trois pieds de long, le dos voûté, les pieds trainant sur les dalles. Chacun de mes gestes était brusque, presque brutal.
Je rangeais ma baguette dans la poche arrière de mon jeans, retroussais mes manches, et mis mon tonneau en branle.
Lya trouva l'idée de Carl très ingénieuse. De plus, jouer la comédie, la jeune fille savait le faire, et elle savait qu'Enid aussi. Peut-être était-ce un don inné des Poufsouffles? Après avoir désillusionner une barrique, la jeune fille la fit rouler devant elle. Elle prit un air ennuyé, un peu coupable, et claquant sa position sur celle d'Enid, voûta un peu les épaules et traîna les pieds.
- Juste une question, Carl, commença la jeune fille en tourna la tête vers son petit ami, où allons-nous?
Elle se demandait où ils pourraient soigner ces pauvres elfes de maison. Et le tout, sans se faire repérer par les autorités régissant le Château.
Pour le moment tout se passait comme prévu. Les filles prenez leur rôle à coeur mais, pas par plaisir. Il était vrais que poussait des tonneaux plein d'elfe et sans être aidé par la magie, n'était pas une tâche évidente Carl, quand à lui, marché à coté en essayant de prendre un tête grave de quelqu'un qui venait de donnée une punition.
- Je vous emmènes dans mes appartement. Dit il à voie basse à sa petite amie. Comme ça en même temps tu pourra te remémoré le chemin en cas ou si certaine nuit tu t'ennuie toute seul.
Carl voulait bien évidement parler de passez quelque nuit mouvementer avec la jeune femme. Un lit était certainement mieux qu'un hangar à bateau ou qu'un chalet dans une foret maudites.
Thed Carter était une fois n'est pas coutume à roder dans les couloirs, même quand cela n'était pas son tour de garde. Il s'était plutôt bien amusé ce soir, ces faibles créatures ne diraient rien. Elles ne disaient jamais rien. Il faisait partie des maîtres du château et personne n’interrogeait les elfes sur leur bien-être. Il avait eut besoin de se défouler, il détestait ce château et ses habitants, il fallait qu'il relâche la pression de temps à autre. Et puis il n'était pas idiot au point de les agresser avec sa véritable apparence non plus...
Il retournait vers vers ses appartements quand des cris l’alertèrent. Le nouveau fantôme, était aussi irritant que Peeves aux yeux de Thed. C'était un abruti finit ! Cependant, l'homme se raidit. Le fantôme avait vu les elfes ? Comment ? Que ? Il couru à toute allure en direction des cuisines. Cependant, le fantôme n'avait pas réveillé que lui semblait-il...
Daisy avait été attiré sur les lieux, Gordon, le nouveau pensionnaire de Poudlard était venu la chercher sans cesser de hurler que des élèves avaient attaqué les elfes. Bien que plutôt sceptique, Daisy c'était rendue sur place afin d'enquêter sur les dires du fantôme. Elle arriva d'abord dans les cuisines, suspicieusement calme. Le professeur d'arithmancie fronça les sourcils. Il n'y avait pas âme qui vive ici, certainement que ce fantôme se jouait d'elle. Pourtant quelque chose l'a fit tiquer. Un étrange objet semblait traîner dans un coin. Qu'est ce que c'était que ça ? A peine le sort de lévitation toucha l'objet que celui-ci claqua comme un fouet.
Une grimace déforma le visage de la belle professeur. Nul doute que ceci était à l'origine des cris du fantôme, cependant sans elfes, difficile à dire. Elle rebroussa chemin et emprunta un couloir différent de celui dont elle était arrivée. C'est ainsi qu'elle tomba sur une étrange équipé.
"Puis-je savoir ce que vous faites tous là, à cette heure-ci ?" Questionna la voix sévère du professeur O'Conell. Elle aperçu Carter arriver en face, l'homme semblait un peu pâle en voyant les tonneaux.
"Laissez Daisy, je vais me charger d'eux." Sourit l'homme avec un sourire ce voulont charmeur. O'Conell lui lança un regard dédaigneux.
"Pour que vous punissiez encore aveuglément sans poser de question ? Je m'étonne encore que la Directrice ne vous ai pas encore renvoyé." Persifla la femme glaciale. Son regard se tourna vers les trois garnements.
"Pourrais-je savoir pourquoi vous vous promenez au milieu de la nuit avec des barriques appartenant aux cuisines de l'école ?" Questionna la femme avec froideur, son regard analysant chaque personne présente.
Combien y avait-il de pompon à décrocher en tout ? Fantôme, concierge, prof... Et puis doublée d'une Directrice de maison, la prof, s'il vous plait. Pas n'importe qui.
Prenant Carl de vitesse, je répondis :
- Nous sommes en retenue M'dame ! Les elfes avaient ces deux barriques à nettoyer, et Grant nous a demandé de nous y coller, à la main. Et des barriques de cette taille, croyez-en ma grand-mère moldue, il n'y a qu'une façon de les décrasser sans magie, c'est de les promener, en les roulant. Alors on les promène. De nuit. C'est pour n'écraser personne dans les couloirs.
La jeune fille approuva les dires de sa camarade en hochant vigoureusement de la tête. Le plan d'Enid était quitte ou double: soit ils croyaient à cette explication, plutôt plausible dans leur cas, soit ils penseraient qu'Enid faisait de l'excès de zèle, tout cela pour cacher quelque chose.
Dans l'esprit de Lya, il serait on ne peut plus aiser de duper le concierge, Thed Carter. Elle n'était pas familière du personnage, mais elle le tenait pour un peu limité pour déjouer un plan fomenter par les Poufsouffle. De plus, elle n'éprouverait aucun scrupules à le berner, mais plutôt de la satisfaction à enfreindre les règles sans en subir les conséquences, et en plus, de faire passer le concierge pour un imbécile incapable d'arrêter des adolescents. C'était bien sûr une autre histoire pour la Directrice de Serdaigle, qui lui faisait l'effet de quelqu'un de supérieurement intelligent que la normale. Après tout, quoi de plus normale pour une Serdaigle, me direz-vous?
- Oh, bonjour Madame O'Conell! Lança Lya, en oubliant volontairement le concierge. Je trouves les innovations, du niveau des retenues, tout à fait amusantes: je n'avais encore jamais fait la vaisselle! Est-ce qu'un jour nous devrions préparer le repas si nous ne rendons pas un devoir? Demanda-t-elle en rigolant.
Carl ne fut pas surprit par l'arrivé des deux autre membre du personnel de Poudlard. Carter avait toujours son nez fourrer partout et le professeur O'Conell avait surement dut être avertie ar cet saleté de fantôme. Pour le moment les filles agissait parfaitement. Elles avaient vraiment l'air dégouté par leur sort et Lya se permit même une petite boutade.
- Comme vous l'on expliquer ces demoiselle, je les ait surpris dans les cuisine entrain d’embêter les elfes. Carl prit un tons grave, il était plus un élève mais un assistant de professeur. Il avait le droit de punir mais pas de retirer des points. Et comme mon maitre de stage Mr Wallas me la indiquer, j'ai tout droit de punir des contrevenant.
Carl ne prit pas de gans, il n'avait pas peur des nouveaux arrivant bien au contraire. Il devait se montrer sur de lui pour que son plan fonctionne. Et un peu de chance...
- Mr Grant, j'ai oublier de vous remercier de nous avoir aider. Enid, l'elfe de maison de Carl, venait d'apparaitre entre les trois amis et les deux autres. Professeur, pouvait vous me suivre dans les cuisine pour vous rendre comptes des dégâts. Ainsi, une fois leur punition effectuer ces jeune insolent pourront perdre autant de points que vous jugerais bon.
Enid avait, une nouvel fois, sauvé la situation.
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La directrice de serdaigle regarda les trois jeune gens avec un air peu convaincu, seulement l'attitude du concierge titilla bien plus sa curiosité que les dires des élèves. L'homme avait l'air un peu trop pressé et pressant pour être honnête.
"Je suis sûre que ce genre de retenue n'est pas censé vous amusé Miss." Déclara sèchement le professeur en dévisageant Lya avec un regard calculateur. Il y avait quelque chose de suspect, cependant le concierge lui paraissait tout aussi étrange que ces trois garnements !
Elle haussa un sourcil à l'arrivée de l'elfe de maison et plissa les yeux.
"Je viens des cuisines Elfe. Et j'ai pu constater une calme assez peu commun là bas... Et certainement pas un aussi grand chahut que vous me l'assurez." Elle ne dit pas à voix haute qu'elle avait trouvé une tapette à souris, alors qu'il n'y avait pas de souris dans les cuisines. Elle savait mieux que de déballer toutes les informations en sa possession. "Carl semble avoir déjà punie les concernée, je n'en rajouterais pas." Ajouta la femme décidant de laisser partir les trois jeunes.
"Quoi ? Mais vous ne pouvez pas faire ça !" S'insurgea Carter avant de se taire devant le regard polaire de Madame O'Conell. Il se contenta de marmonner des imprécations contre la bonne femme trop intelligente pour son matricule.
hrpg : O'conell vous laisse passer, elle va se concentrer sur Carter^^
Lya baissa les yeux pour ne pas dévoiler son sourire satisfait à la Directrice des Serdaigle. Il ne fallait pas qu'ils échouent si près du but.
- Je suis sûre que ce genre de retenue n'est pas censé vous amusé Miss, lui dit la professeur avec un regard suspicieux.
- Eh bien, je pense qu'il vaut mieux rire d'une retenue que de s'en morfondre des jours durant, ce qui est vraiment contreproductif, répondit-elle en souriant légèrement.
Puis Enid, l'Elfe de maison de Carl qu'elle avait rencontré lors de son séjour dans le Manoir des Grant, arriva et produit une diversion inespérée. Et, heureusement, elle ne parla qu'à Carl, et ne l'appela pas Maman devant les deux adultes. Lya faillit sauter de joie quand Daisy O'Conell annonça qu'elle ne les punirait pas davantage. Tout avait marcher comme sur des roulettes et le plan de Carl c'était déroulé sans accrocs.
- Merci, Madame, glissa la Poufsouffle en pensant ces mots.
- Quoi ? Mais vous ne pouvez pas faire ça !
Thed Carter, le concierge, avait l'air révolté de cette décision. Malheureusement pour lui, la professeur avait un rang plus élevé que lui, et il devrait se contenter de sa volonté de les laisser partir. Lya ne résista pas à lui tirer la langue alors qu'aucuns des deux adultes ne la regardaient.
Que c'était de bon de passer dans une criante clandestinité sous le nez et à la barbe de ce satané concierge ! Je notais mentalement de faire parvenir au professeur O'Conell une boîte de Pookies, les cookies des Pouffies ! Fabriqués dans les cuisines, réquisitionnées une fois par semaine grâce à la complaisance des Elfes de maison, le marché noir des cookies permettait de renflouer la cagnotte du journal clandestin de notre maison.
La chance était encore de leur coté ce soir. Miss O'Conell n'avait pas crue à l’histoire d'Enid, l'elfe, qui en avait un peut trop fait. Carl admirais tout de même le sens de la synchronistaion de l'elfe qui était apparue au bon moment.
Les trois amis continuèrent leur route tout en laissant le concierge sous le regard de Miss O'Conell. Et Carl fut surpris de voire les couloirs aussi calme. Le couvres feux devait être la seul partie du règlement que les élèves respectait pour la plus part. Les filles continuèrent de pousser les tonneau sans parler tout en suivant le jeune homme. Mais, Carl ne put s'enlever de la tête que les Gryffondor n'étaient peut être pas derrières tout ça...
- Nous y sommes. Carl les avaient conduits devant ses appartement. La, ils seraient tranquille pour discuter de la marche à suivre. Il pointa sa baguette sur la porte tout en prononçant des formules inaudible et en fessant couler une potions jaunâtre sur la poignée. Entré! Dit il une fois la porte ouverte.
Les tonneaux invisible suivaient encore la marche et ils se faufilèrent dans la chambre tout en tapant sur les meubles.
L'arrivée enfin. Hé, cool ! Il nous avait amené chez lui ! La grande classe les appart' des assistants ! La salle de bain des préfets, en mieux. (La question du comment j'étais déjà entrée dans la salle de bain des préfets ne se pose pas, un mot de passe, c'est facile à obtenir.)
- Finite Incantatem !
Je levais le sortilège. Ça au moins, je réussissais à tous les coups et depuis longtemps. Rhaaaa, Sortilèges. Et puis je n'étais pas mauvaise cette année, malgré la surcharge de travail que me donnait mon entêtement à poursuivre cette matière en ASPIC.
Ils étaient enfin arrivés dans l'appartement de Carl. C'était un peu plus luxueux que la Salle Commune des Poufsouffle, et comme il était seul, Carl avait beaucoup plus d'espace à lui.
- Pas mal, comme appart'! lui dis Lya en le regardant. Je me demande si je ne vais pas devenir assistant de professeur, moi aussi, ça à l'air de bien rapporté, ajouta-t-elle en souriant.
Léni mit fin au sortilège qui rendait les barriques invisibles.
- Alors, qu'Est-ce qu'on va faire de ça, maintenant, demanda la jeune femme en désignant les barriques qui s'entassaient dans la chambre.
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