Elle était ici… je n’en pouvais plus, il fallait que je la vois. Qu’est-ce qu’elle faisait ici ? Je ne le savais pas moi-même. Et puis ce Seamus qui nous a snobés et qui était à côté d’elle ! J’en avais le ventre tout retourné. Il fallait que je me défoule. Ma fonction de préfet me permettait d’accéder aux couloirs de l’école tranquillement le soir pour surveiller qu’aucun des élèves ne sorte de leurs dortoirs. J’étais d’une humeur massacrante. Si je croisais un élève il allait le regretter. La répartition était un moment extrêmement lent et je trouvais cela ennuyeux. Mais je savais faire preuve de patience. Mais là, là c’était différent. Lisa était présente à quelques mètres de moi j’aurai pu la toucher si je m’étais levé. J’aurai pu lui parler si je m’étais approché. Mais tout ça ne servait à rien. Je n’avais pas pu le faire. Et ce Seamus. Cette personne qui semblait savoir qu’il était un apollon lui avait fait du charme. C’était ce que j’avais vu de ma place, avant qu’Elisabeth ne me passe la langue et me fasse l’ignorer. J’avais eu l’énervement toute la soirée de ne pouvoir rien faire. J’avais envie de lui cogner la tête sur la table et de lui casser un bras.
J’avançais encore et encore dans les couloirs, mais il n’y avait aucun signe des élèves. Juste des tableaux qui dormaient paisiblement. Je ne savais pu où donner de la tête. Je soufflais un bon coup, puis je fermais les yeux quand d’un coup je frappais contre un mur de la main droite. La douleur se fit ressentir, mais je n’avais rien de cassé. Je soupirais de colère. Puis j’entendis sa voix je me retournais vers elle et je lui disais :
Je ne respectais pas son travail d’après elle. Cela me fit sourire légèrement, mais la colère était toujours présente. Je la saluais. Que faire de plus ? Elle n’avait rien dit pour son année ici à Poudlard. De plus elle avait osé flirtée avec Seamus. Je me retins de frapper une nouvelle fois le mur. J’avais toujours le poing serré. Que faire face à elle ? Elle ne bougeait pas et je ne bougeais pas non plus. Allais-je la laisser en plan ou la prendre dans mes bras et l’embrasser ? Je sentais en moi la jalousie grimper encore et encore. Lisa m’avait expliqué une fois ce que c’était quand j’ai légèrement explosé. Je soupirais un bon coup, puis sans prévenir je décidais de la coller contre un mur. Une fois que ce fut fait, je lui attrapais les mains pour les mettre au dessus de sa tête, les bras tendus. Je la tenais fermement et je savais qu’elle pouvait aisément se libérer, mais elle aimait jouer le jeu. Alors nous allions jouer. Je me collais le front contre, elle, nos lèvres presque sur le point de se toucher et je lui disais :
- Tu sais je suis assez énervé dut à ce que tu as fait. Alors on va jouer à un jeu. Si la réponse me convient tu auras droit à un baiser, sinon je te promets que tu risques de me voir dans un état pitoyable à l’infirmerie. Je me suis bien fait comprendre ?
Je commençais à l’embrasser dans le cou et à remonter sur la joue avant de me stopper près de la bouche. Je souriais d’un air sadique et commençais la première question :
- Pourquoi es-tu ici et pourquoi tu nous as rien dit ? Enfin que tu m’as rien dit ?
Elle avait essayé de m’embrasser, mais j’avais esquivé ses lèvres. Je voulais de réponse moi. Je lui expliquais ce que je voulais et pendant que je parlais elle était entrain de fermer les yeux. Elle devait ressentir ma frustration, ma colère contre elle. Je décidais de l’embrasser sur le cou pour l’embêter encore plus. Chaque baiser sur sa peau me donner envie d’en faire encore plus, mais il fallait que je me retienne. Dans une voix pleine de frustration, elle accepta de répondre. Reposant mon regard dans le sien, je lui demandais ce qu’elle faisait ici et pourquoi elle n’avait rien dit. Sa réponse ne se fit pas attendre et elle m’expliqua que c’était à la dernière minute qu’elle avait décidé et elle me demanda comment elle aurait pu me prévenir. Soupirant un bon coup je devais admettre que c’était difficile, mais par un hibou ça aurait pu être plus simple.
Lisa ne lâchait rien et tenta de nouveau de m’embrasser. J’esquivais au dernier moment. Je sentais que son côté animal reprenait le dessus, mais j’avais envie de jouer avec encore un peu. Je fis rapidement un baiser furtif. Si rapide qu’on le ressent à peine. De quoi rendre fou. Prenant un nouvel air sadique je disais :
- Bon et maintenant une autre question. C’était quoi ce que tu m’as fait là avec ce Seamus à la noix ? J’ai bien vu qu’il te draguait et que tu n’étais pas insensible à son charme.
Je devais avoir les yeux qui parlaient pour moi vu la jalousie qu’il y avait en moi. J’étais entrain d’exploser et elle le voyait aisément.
Je sentais son corps se tendre sous mon baiser furtif. Elle avait détesté cela et c’était normal. C’était sans me rappeler la fois qu’on s’était vraiment embrassé. C’était même l’exact opposé. D’ailleurs je lui demandais la question qui me brulait de l’intérieur. Comment réagir à cela. Je la vis se tordre de rire en annonçant que je pouvais être jaloux de Seamus. Je relâchais mon étreinte sur ses bras et je la regardais dubitatif. Je ne voyais pas vraiment comment elle pouvait rire. D’ailleurs elle reprit en me poussant légèrement de la main. Surpris je reculais d’un pas. Mais un seul. Elle voulait montrer sa force, rien que par sa manière de parler je l’avais deviné. J’avais deviné juste, nous allions jouer de nouveau. Ça ne me surprenait un peu, mais j’avais envie de jouer avec elle. D’ailleurs je me tenais prêt à recevoir une nouvelle attaque. Ce qui arriva, mais cette fois-ci je me tenais prêt et je ne bougeais pas d’un millimètre. Lisa n’avait pas réussi à me faire reculer. Elle voulait parler de ma résistance quand elle me montrait sa force ? Et que Seamus n’avait pas la force physique suffisante pour la supporter ?
Je vis celle que j’aimais prête à bondir sur moi. Tel un fauve qui bondirait sur sa proie. Je profitais de l’avantage que j’avais pour courir en direction d’un couloir un peu plus loin. Je l’entendais me suivre tel un prédateur qui pourchassait sa proie. Sauf qu’elle n’était pas le prédateur ici. C’était moi et elle venait de tomber dans mon piège. J’étais derrière une statue et je tentais de donner un coup de poing à Elisabeth qui le contra aisément, mais elle me laissa une ouverture et j’attrapais son bras et je lui fis une clef de bras. Toutes ces heures d’entraînement avait fini par payer. Elle était à ma merci. Elle tenta de m’embrasser de nouveau, mais je relâchais l’étreinte que j’exerçais sur son bras. Elle n’avait toujours pas répondu à ma question la louve. Elle me pointa du doigt et m’expliqua que c’était moi qu’elle voulait et personne d’autre. La jalousie qu’il y avait en moi c’était apaisé. Elle m’annonça qu’elle avait l’habitude de faire la charmeuse mais que c’était pour moi qu’elle avait des sentiments. Je la vis s’approcher et je la laissais faire. Puis elle m’annonça qu’elle aimait mes crises de jalousie. Cela me fit tiquer un peu mais je ne dis rien. Je m’approchais d’elle et la serrais dans mes bras de toute ma force possible avant de la soulever et de la coller contre moi. Je sentais ses jambes se serrer autour de moi et je l’embrassais sans retenu et caressais son dos. J’avais l’impression que ça faisait une éternité que je n’avais pas ressenti ça. Entre deux baisers endiablés je disais :
- Tu m’as manqué ma Lisa.
Rien de plus, rien de moins. J’étais simplement heureux d’être avec elle. C’était ça le vrai amour ?
Seamus McGregor
Points : 995
Nombre de messages : 3658
Age : 33
Feuille perso Nom: Seamus McGregor Maison: Age: 18 ans
Bitch is Back ! I'm a pain in the ass and I like it
Seamus McGregor
Retrouvaille de Feu
La répartition et le banquet de début d’année s’étaient déroulés sans encombre. Les premières années avaient fêté leur rentrée comme il se devait, s’étaient remplis l’estomac et avaient été accompagnés à leur salle commune respective. Le jeune homme eut enfin l’occasion de s’installer dans ses appartements. Ils étaient situés pas très loin de la salle commune des Serpentards, à proximité de la grande porte menant au parc. Plus aisé d’arriver rapidement à la cabane du garde-chasse si Kirsten avait besoin de lui. En parlant de la jolie brune, elle venait d’adresser une missive à son apprenti. Un petit bout de parchemin venait de glisser sous sa porte et de se poser sur son bureau.
Seamus, Ted Carter a besoin d’aide pour surveiller les couloirs du château ce soir. Les élèves sont surexcités à cause de la rentrée. Je dois m’occuper de l’incident avec les centaures, vas l’aider. Il s’occupe des étages supérieurs.
Kirsten Hakar
Voilà qui était rapide. A peine arrivé et déjà de corvée surveillance des couloirs. Seamus soupira et s’étira longuement, essayant de vaincre la fatigue qui pointait déjà le bout de son nez. Il frappa dans ses mains pour se donner du courage, rangea sa baguette dans la poche de sa robe et sortit de son appartement.
L’école était silencieuse, trop silencieuse. C’était comme si tous les bruits de la journée avaient été absorbé par les murs en pierre, c’en était presque assourdissant. Etrangement, Seamus appréciait cette ambiance et le sentiment de liberté qu’il ressentait. Il était seul, et il adorait sa propre compagnie plus que n’importe quelle autre.
Il déambula dans les cachots, passa devant la salle commune des Serpentards, puis fit un tour du côté des Poufsouffles. Calme absolu. Le tableau menant aux cuisines laissaient toutefois échapper des bruits de casseroles et de couverts. Les elfes devaient encore être occupés à nettoyer les restes du banquet. C’est dans la salle des escaliers que l’ouïe de Seamus fut perturbée. Dans ce silence, les bruits de pas résonnaient comme des tambours et encore plus quand ces bruits de pas étaient faits au pas de course. Quelqu’un courait dans les couloirs. Super… Lui qui avait presque terminé sa ronde… Il se dirigea vers la source du bruit et au détour d’un couloir, aperçut un couple entrain de se bécoter allègrement contre un mur. Seamus ne put retenir une grimace de dégout et d'exaspération. Ils n'y allaient pas avec le dos de la cuillère ceux deux-là ! Dans l’obscurité, il ne reconnut pas tout de suite les deux énergumènes. Il avança de quelques pas, visiblement leur étreinte avait inhibé tous leurs sens puisqu’ils ne l’entendirent pas tout de suite.
A vrai dire, Seamus eut même le temps de les reconnaitre avant qu’ils tournent la tête vers lui. C’était Henry, le Serpentard de 5ème année qui l’avait dévisagé toute la soirée et… Surprise ! La nouvelle assistante de Mrs Kiting, mais aussi sa voisine de tablée pendant tout le repas, Elisabeth Hiilos… Ok… Ca, c’est fait…
« Well… Ca explique pas mal de choses… »
Les deux jeunes gens remarquèrent enfin sa présence. Pas trop tôt ! Alors comme ça, la jeune femme si désabusée et stressée par son arrivée dans une école étrangère connaissait déjà au moins un élève. Enfin… Vu la ferveur avec laquelle ils se suçotaient la glotte, Seamus espérait que ce n’était pas leur première rencontre. Mais… Qui était-il pour juger, n’est-ce pas…
Je sentis Elisabeth sursauter dans mes bras alors que nous étions entrain de nous laisser aller dans les bras l’un de l’autre. J’avais eu un sursaut aussi en entendant le son de la voix de Seamus. Je grognais d’agacement. Qu’est-ce qu’il fichait là lui ? Déjà il m’avait énervé à la grande salle lors de la répartition et là je devais m’arrêter parce que monsieur le garde chasse était venue s’immiscer dans des affaires qui ne le regardait pas. Lisa défit ses jambes autours de mes hanches pour se poser à terre et remettre mon badge droit. Mais qu’est-ce qu’il m’énervait lui. Déjà dans le train, mais là c’était encore pire. La louve fit une blague au garde chasse sur le fait qu’il était arrivé dans le couloir. Je la vis qui me regardais d’un air méfiant. Elle avait de quoi car il m’énervait au plus haut point. Je m’avançais vers lui pour me mettre face à lui. Je le regardais droit dans les yeux d’un air de défis avant de dire :
- Et alors ? Qu’est-ce que tu comptes faire ? Tu vas nous dénoncer ? Je t’en pris, vas-y ! Les personnes qui nous connaissent déjà sont au courant alors ça ne les choquera pas. Et puis qu’est-ce que tu fous ici ? Je pensais que tu devais surveiller la forêt. A moins que je me trompe la forêt c’est pas ici.
Je commençais à m’énerver et j’en avais marre. La frustration, lié à ma jalousie m’énervaient de plus en plus. Je sentais ma colère grimpait au fur et à mesure. J’avais envie de coller mon poing sur sa figure. Mais je me retenais pour le moment. La présence d’Elisabeth me calmait pour l’instant. Enfin pour le moment.
Seamus McGregor
Points : 995
Nombre de messages : 3658
Age : 33
Feuille perso Nom: Seamus McGregor Maison: Age: 18 ans
Le couple eut l’air surpris par l’apparition soudaine du jeune homme. Ils étaient tout de même en plein milieu du couloir menant à la classe de Sortilège, le risque d’être découvert était plutôt important. Awkward… C’était vraiment gênant, Seamus n’avait pas vraiment envie de voir ce qu’il venait de voir. Elisabeth tentait de reprendre une consistance plus… Professionnelle. Elle lissa ses vêtements et redressa le badge de préfet du Serpentard. Un gamin pareil, préfet ? Le professeur Hartmann avait vraiment des défaillances de jugement ces derniers temps. Henry avait zéro capital sympathie et les premières années perdus préféraient certainement demander de l’aide au Baron Sanglant qu’à cet énergumène.
« Seamus, toi aussi tu t'es perdu dans les couloirs ? »
L’ex Serpentard leva les yeux au ciel et esquissa un sourire en coin, amusé. Bien tenté Hiilos…
« Il se trouve que des élèves trainent dans les couloirs après le couvre-feu. Difficile à croire hein…? » Sarcasme bonjour. Henry se rapprocha et se planta face lui, plantant son regard dans celui du jeune McGregor. Le cinquième année faisait une bonne tête de moins que Seamus et le toisait d’un air menaçant.
« Et alors ? Qu’est-ce que tu comptes faire ? Tu vas nous dénoncer ? Je t’en pris, vas-y ! Les personnes qui nous connaissent déjà sont au courant alors ça ne les choquera pas. Et puis qu’est-ce que tu fous ici ? Je pensais que tu devais surveiller la forêt. A moins que je me trompe la forêt c’est pas ici. »
Le nouveau Garde-Chasse tenta de réprimer un sourire puis éclata d’un rire sec en levant les yeux au ciel. Le Serpentard était vraiment couillu, il fallait lui laisser ça. Pour le reste, il était plutôt ridicule. Son rire maitrisé, il planta son regard dans celui de son ancien camarade, toute trace d’amusement disparue.
« Ce que vous faites de votre baguette n’est pas du tout mon problème, Monsieur Allen. Par contre, faire le lover dans les couloirs de l’école alors que vous êtes censés être dans votre salle commune pour vous occuper des premières années, ça l’est. Donc vous allez remettre vos activités à plus tard et si possible dans un endroit plus approprié. »
Je ne cessais de fixer Seamus. Il était peut-être plus grand que moi, mais il ne me faisait pas peur. Je prenais pour moi pour ne pas le frapper. Déjà dans le train il avait mis une cible dans son dos à parler de la sorte. Je répondais à sa phrase en n’ayant pas froid aux yeux. D’abord je croyais qu’il ne me prenait pas au sérieux car il se mit à rire aux éclats. Je me demandais quelle mouche l’avait piqué. J’avais envie de lui mettre mon poing dans la figure. Puis il se calma et fit une légère explication sur mon devoir de préfet et que je ne devais pas profiter de Lisa pour le moment. Sa manière d’être un parfait enquiquineur commençait à m’agacer. Surtout si ça touchait à Elisabeth. Je souriais à Seamus. Il voulait la jouer ainsi ? Et bien il n’allait pas être déçu. Toujours le défiant du regard je lui disais avec un grand sourire :
- Mais c'est peut-être parce que tu ne sais pas te servir de ta baguette que tu rembarres tout les couples amoureux. Peut-être même que tu ne l'as pas encore utilisé convenablement.
Je savais que j’en faisais peut-être un peu trop mais je tenais en place encore. Ce n’était pas ce garde chasse qui allait me mettre à mal. Même s’il devait être assez fort physiquement pour être à ce poste. Mais il ne valait pas la force de Lisa, ni la rapidité de Samuel, ou encore la férocité de Valdemar. Je savais que je pouvais tenir tête à ce prétentieux de pacotille. Restant toujours fixé devant lui je lui disais :
- Les premières années que tu t’inquiètes tant sont dans leurs dortoirs entrain de pioncer comme des bébés. Tu devrais en faire pareil. J’ai inspecté cet endroit et il n’y avait personne. Enfin jusqu’à ce qu’elle arrive et que tu arrives. C’est à ça aussi que sert ce badge, non ? Alors laisse-moi faire mon travail. Et comme tu me l’as fait si bien remarquer, nous allons trouver un autre endroit pour nous occupez.
Je lui tournais le dos et avançais dans la direction de la louve. Je savais ce que je faisais et j’étais prêt à n’importe qu’elle action de sa part. J’avais Elisabeth qui pouvait grâce à son regard me montrait ce qu’il allait faire. Et puis s’il osait me frapper ou m’attaquer dans le dos ça serait la guerre totale. Et là il aurait du soucis à se faire.
AlOrS qUe La TeNsIoN mOnTaIt RaPiDeMeNt DaNs Un CoUlOiR pArTiElLeMeNt DéSeRt,
un rire aigu se mit à raisonner dans un escalier débouchant sur le passage. PEEVES
l'eSPRIT fRAPPEUR DE POUDLARD 2URG1T,
2URPR3N4NTles élèves.
"ELEVES HORS DES DORTOIRS! Mais que fait le préfet?! Il ne fait pas son travaiiiiiil!"
Riant En Tournoyant, L'esprit Continua A Hurler,
afin d'ameuter autant de monde que possible. Tout en riant de manière parfaitement psychédélique, Il LeS bOmBaRdAiT d'EnCrE eT dE bOuLeS pUaNtEs.
"Ce préfet ne fait pas son travail, il ne mérite pas son titre!"
VISANT L'AUTRE JEUNE H0MME, CELUI QUI N'ÉTAIT PAS PRÉFET, IL LE REC0NNUT ET S'EXCLAMA DE N0UVEAU :
"Haaaahaahaaaaahaaaaahahhaahaaa! Le garde-chasse est au château, là où n'est pas sa place! Sa place est dans la FO-RêT! Il vient attaquer les élèves!!!"
Iris Estern était tranquillement assise à son bureau quand elle entendit un vacarme effroyable, et des cris.
Sortant en courant, elle suivit le bruit jusqu'à atteindre un couloir où se trouvaient un préfet, une élève et le garde-chasse. Au-dessus d'eux, Peeves hurlait à tout-va.
"Qu'est-ce qu'il se passe ici?!"
Narrateur
Points : 223
Nombre de messages : 402
Age : 53
Feuille perso Nom: Poudlard Maison: Age: Plus de 1000 annnées
Thed, concierge de Poudlard, était en plein tour de garde. Il avait tellement arpenté les couloirs de ce maudit château qu'il connaissez tout les passages secret. L'année dernières, il était pion, méchant, sans aucun scrupule. Mais un jour il se fit attraper en flagrant délits de tentative de chantage envers deux jeune élèves. Il évita le renvoie mais il fut rétrograder au poste de concierges... Simple concierge qui devait passez ces journée à nettoyer les saleté de ses salles mioches.
Au moment ou il finissait enfin son tour de garde il entendit des hurlement . C'était encore ce fantôme qui venait de dénoncé des retardataires. Thed aimé Peeves, il était tout aussi mauvais tout les deux.
- Mr McGregor, je pensait qu'on vous avez demander de surveiller le couloir! Thed arriver au près d'eux en quelque minutes. Vous ne deviez surement pas copiner avec les élèves qui ne respecte pas le couvre feux!!
Thed avait demander à la garde chasse de lui prêtait son apprentie le temps d'une soirée pour l'aider. Il avait longtemps hésité entre lui et Grant mais, ce dernier était totalement incontrôlable... C'était pour cela qu'il avait choisi McGregor.
- L'odeur de sapin vous a t-il ramolie le cerveau? Thed était rouge de rage. Il ne supportait pas les élèves, qu'il ne pouvait plus torturer mais, il détestait encore plus qu'on ce montre laxiste... Peeves, merci mon grand.
La tension était à son comble, je sentais la main de Lisa au niveau de mon bras, pour m’apaiser. Ça marchait un peu, pendant deux secondes. Jusqu’à ce que ce maudit Peeve arrive et fait le mariole en hurlant comme un cinglé. Peeve. J’avais envie de lui rabaisser le caquet à celui là. Je m’étais défait d’Elisabeth vite fait. Je lançais un sortilège aux projectiles que nous lançait Peeve, afin de nous protéger de ses attaques. D’un coup une professeur que je ne connaissais pas nous demanda des explications. J’eu à peine le temps de soupirer que le concierge arriva. Encore une mauvaise nuit qui s’annonce. Je vis Elisabeth s’avancer vers le concierge et marmonner dans une langue que je ne connaissais que la mélodie. Bien entendu que c’était comme ça. Je l’avais déjà entendu parler comme cela avec les inséparables ou encore quand elle me donna mes deux surnoms. Elle commença par la suite à expliquer qu’elle c’était perdu, puis qu’elle était tombé sur moi, puis sur Seamus. Je hochais la tête pour confirmer ses paroles. J’espérais que Seamus en ferait autant. Après tout ce n’était pas un mensonge, mais plutôt une vérité avec quelque fait oublié.
Ce qui me rendit fier c’était la manière dont elle râla du fait que personne ne lui avait donné de guide et que c’était par cette faute qu’il y avait eu cet incident. Je souriais en coin. C’était vrai dans un sens. Je pris la parole et d’un air aimable et d’une voix amicale je disais :
- C’est comme l’a dit Mademoiselle Hiilos. D’ailleurs le fait qu’elle n’a pas de guide, j’aimerai me porter volontaire. Puisque je suis préfet, c’est un peu mon devoir que de diriger les nouveaux arrivants. Par ailleurs, je faisais une ronde pour voir s’il n’y avait aucun élève dans les couloirs. Mais je suis tombé sur mademoiselle Hiilos, puis notre garde chasse McGregor nous a trouvé puis ce fut le tour de Peeve. Si ça ne vous dérange pas, je compte ramener mademoiselle Hiilos à ses appartements. Sur ce je vous laisse.
Je commençais à pousser légèrement Elisabeth dans le dos de ma main pour la faire avancer vers sa chambre. Bon sang, on avait eu chaud.
Seamus McGregor
Points : 995
Nombre de messages : 3658
Age : 33
Feuille perso Nom: Seamus McGregor Maison: Age: 18 ans
Allen était définitivement frustré d’avoir été arrêté dans son élan. Sa baguette était redevenue toute molle ? Pauvre enfant… Voilà qu’il essayait d’être provoquant. Bien essayé, mais veuillez revenir quand vous saurez de quoi vous parlez. Et donc Allen pensait que son badge l’autorisait à trainer dans les couloirs pendant que les autres étaient soumis au couvre-feu ? BUZZ, mauvaise réponse. Un sourire mauvais naissait sur le bord des lèvres du jeune McGregor. Cet enfant avait tout faux. Il était arrogant et présomptueux mais sans aucune crédibilité. Le Serpentard fit un demi-tour théâtral comme s’il en avait fini avec le Garde-Chasse. Seamus avait l’impression d’être dans un soap opera pour adolescente, et cette impression se confirma quand Peeves vint perturber leur « discussion ». Le jeune homme ne put retenir un soupire exaspéré et repoussa les projectiles de l’ectoplasme d’un coup de baguette. Il reçu néanmoins de l’encre sur ses chaussures et une odeur pestilentielle vint étouffer le couloir. Presque immédiatement, le professeur Estern fit son apparition suivie par Thed Carter, le concierge execrable qui prenait un malin plaisir à punir les élèves pour aucune raison valable. Tiens, tiens… Ce serait peut être l’occasion de se débarrasser de ce Allen et de ses faux-airs de Robin des Bois. Le concierge semblait lui reprocher de « copiner avec les élèves ». Cet homme était vraiment un abruti fini mais il pourrait être utile dans certaines circonstances.
« Techniquement, je fais votre boulot parce que vous ne pouvez pas surveiller tout le château tout seul. Et je le fais même plutôt bien puisque je les ai trouvé sans avoir besoin de l’aide de Peeves… »
Seamus croisa le regard de la professeur de runes et leva les yeux au ciel avec un sourire laissant sous-entendre que le concierge pouvait vraiment être à côté de la plaque parfois.
C’est alors qu’Elisabeth intervint en essayant de calmer le jeu. Elle nous sortait un joli baratin la scandinave ! Si elle s'était perdue quelque part, c’était dans la bouche de son acolyte… Seamus fixait son dos, les yeux plissés quand Allen se joint à elle pour appuyer son mensonge, le sourire de Seamus s’élargit. Le Cinquième année avait perdu de sa superbe, voilà qu’il suppliait presque le nouveau Garde-Chasse d’appuyer leur version. Ca aurait été mignon si le jeune McGregor n’avait pas envie de vomir devant tant d’hypocrisie.
Tous les regards étaient maintenant braqués sur lui attendant qu’il approuve ou réfute les faits. Deux choix s’offraient à lui. Mais l’idée de laisser Henry s’en sortir lui était trop insupportable pour laisser passer ça.
« Puisque tu es préfet, » commença-t-il en reprenant les paroles du Serpentard, « tu peux retourner dans ta salle commune et veiller à ce que tes premières années n’aient pas échappé à ta vigilance. Je vais reconduire Mademoiselle Hiilos à ses appartements qui sont situés à l’opposé des cachots… »Le regard que les deux amoureux lui lancèrent étaient tellement noirs qu’il en frissonnait de plaisir. Jeu, Set et Match Seamus McGregor. Il se tourna vers Thed avec un sourire des plus hypocrites, chacun son tour.« Merci Carter pour votre intervention, je continue la ronde des étages inférieurs. » Puis son regard se posa sur Iris Estern, excédée, avait-elle bu la soupe de mensonges qu’on venait de lui servir ?
Dernière édition par Seamus McGregor le Mar Sep 22 2015, 21:48, édité 1 fois
Narrateur
Points : 223
Nombre de messages : 402
Age : 53
Feuille perso Nom: Poudlard Maison: Age: Plus de 1000 annnées
Le concierges ne crut aucune des parole prononcé. Que ça soit les excuse de l'aide infirmière ou aux explications du préfet. Thed avait juste envie de punir pour bien commencé cette année.
- Sa suffit tout les deux! Thed regarda le Serpentard et la jeune femme essayer de filer en douce. Miss Hiilos, vous faite peut être partie du personnel de Poudlard mais, si je me souviens bien, chaque nouvel employer reçoit un plans de l'école avant la rentré. Et mes souvenir sont excellent Miss.
Peeves voletait toujours au dessus d'eux tout en rien et en fessant un signe bien particulier. Il mimer un bisou avec deux doigt.
- Mais fricoter et lire une carte n'est pas compatible. Thed était souriant en imaginant la punition qu'il pourrait infliger au jeune préfet. Mr McGregor qui débute dans la surveillance vous raccompagnera à vos appartement. Mais Mr, la prochaine fois évité de parler avec les fraudeur, il vous faut agir aussi vite qu'un serpent!! Et la prochaine fois, montrais vous sévères
Il y avait tellement d’ancien élèves qui ce retrouvé assistant cette année, que Thed ne pouvait plus agir aussi librement sur ces derniers. Il pouvait uniquement mentir sur leur comportement en reportant de fausse rumeur à leur chef de stage.
- Quand à Mr le préfet, il a surement une autorisation écrite pour ce tour de garde? Les préfet était tout aussi concernée par le couvre feu qu'un élève lambda. Seul une autorisation écrite pouvait leur permettre de traîner dans les couloirs. Mais j'en doute, vue que le planning de ce soir n'indique pas qu'un préfet était de garde. Donc veuillez me suivre, je vous raccompagne à votre salle commune.
Bien évidement que sur le trajet, le jeune préfet allait ce perdre dans une salle du cachot.
A peine eut-elle posé sa question que la prof de runes regretta de s'être levé de son bureau adorée. Elle s'était éloigné de ses caramels, de sa musique et du feu pour...ça. Au vu des regards échangés entre les différentes personnes présentes, les deux gars ne pouvaient pas se blairer. Pff, et la fille au milieu, c'était quoi, l'objet d'une compétition mêlant jalousie et frustration? "Oh, vous faites ce que vous voulez, tous, je m'en vais! Carter, arrêtez donc de vous acharner, et vous, Allen, ne vous croyez pas au-dessus tout pour un insigne de préfet! Quant à vous, ajouta-t-elle à destination du garde-chasse, laissez cette pauvre jeune femme tranquille, ce n'est pas un jouet qu'on se dispute! Miss, si vous voulez je peux vous raccompagner et mettre fin à ces sottises!" Iris avait horreur des histoires et autres embrouilles entre élèves - ou jeunes gens travaillant au château, c'était pareil!
Je regardais Seamus avec un sourire en coin. L’enfoiré. Je te l’accordais, cette fois ci tu avais réussi à tourner la situation à ton avantage, mais ça risquait de ne pas durer. Ce fut la professeur qui départagea tout le monde. Elle emmena Elisabeth, qui accepta son offre, à ses appartements. Je vis à son regard qu’elle était un peu désolée. Je comprenais un peu. Si quelqu’un savait la relation elle risquait de ne pas pouvoir rester. Je me retenais de soupirer car j’étais encore en présence des deux gigolos de service. Par contre le concierge me fit hausser un sourcil, une autorisation ? Je n’avais jamais entendu cela de ma vie. Les préfets qui se baladaient, pouvait être de tour de garde si on leur en demandait l’ordre, mais en aucun cas, une lettre écrite était donné. Ça j’en été sur. Il m’annonça que je pouvais retourner dans la salle commune, mais qu’il me suivrait. J’eu un soupir de mécontentement mais je répondis d’une voix tout à fait respectable :
- Très bien monsieur. Direction la salle commune de Serpentard alors.
Nous avançâmes tranquillement vers les cachots. Je ne l’aimais pas ce concierge, toujours là pour emmerder le monde et jamais là quand il faut. Je me demandais parfois s’il ne le faisait pas exprès. Je restais quand même sur mes gardes, prêt à intervenir de manière musclé, s’il le fallait, si ce concierge de malheur tentait quelque chose. J’avais entendu dire qu’il avait fait chanter des élèves. Pas de ça avec moi. Alors qu’il fasse gaffe à lui.
Seamus McGregor
Points : 995
Nombre de messages : 3658
Age : 33
Feuille perso Nom: Seamus McGregor Maison: Age: 18 ans
Seamus fixait le concierge d’un air peu convaincu. Qu’est-ce qu’il nous inventait là ? Une carte pour le personnel ? La directrice faisait visiter les lieux au nouvel arrivant le premier jour mais pour la suite, celui-ci devait se débrouiller en demandant de l’aide aux tableaux. S’ils sont coopératifs, ce qui n’est pas assuré tous les jours… Cette conversation était tellement surnaturelle que Seamus devait mettre toute sa concentration en œuvre pour ne pas glisser une remarque acerbe ou éclater de rire. Agir vite et se montrer sévère… Ouaip, ça n’allait pas être de tout repos avec des élèves comme Allen. Mais ce que le jeune Garde-Chasse redoutait le plus, c’était de tomber sur Dean en train de préparer un mauvais coup.
Puis soudain, Carter s’en prit à Allen. Visiblement, lui aussi doutait que le jeune préfet soit de corvée de surveillance. Le premier soir de la rentrée, on laissait le temps à chacun de s’installer dans ses nouvelles fonctions. Bon au moins il n’était plus de la responsabilité de Seamus de s’occuper du Serpentard. Heureusement… Cet enfant avait l’air d’un sauvage incontrôlable. Il avait l’air capable d’égorger quelqu’un dans son sommeil. Un vrai regard de psychopathe. Le jeune McGregor ne comprenait pas trop ce qu’une fille censée et apparemment intelligente trouvait à cet énergumène qui se croyait plus fort que les autres.
C’est le professeur Estern qui mit fin à la discussion. Et il était temps, les occupants des tableaux avoisinants soupiraient de plus en plus fort et se plaignaient du bruit à une heure si tardive. Elle allait elle-même raccompagner Elisabeth. Ce qui était une bonne solution. Après tout, ce n’était pas vraiment sur le chemin et Seamus n’avait pas spécialement envie de se retrouver en tête à tête avec l’aide-soignante après l’avoir interrompu dans ses retrouvailles avec l’autre tordu. A vrai dire, il aurait voulu la raccompagner juste pour énerver Allen… Mais il avait eu son compte pour aujourd’hui et quelque chose laissait présager que Carter n’allait pas le laisser retourner à sa salle commune aussi facilement.
Le groupe se scinda en deux, les filles vers les appartements des professeurs et Allen et Carter vers les cachots. Resta Seamus en tête à tête avec Peeves qui le dévisageait.
« C’est une belle performance que tu nous as fait là… »Confia-t-il à l’esprit frappeur en fixant le dos d’Allen qui disparaissait au détour d’un couloir. « Ce gamin est une plaie… Je suis prêt à t’offrir pour 10 Gallions de Bombabouses si tu lui rends la vie impossible… » Seamus lui fit un sourire en coin, fit craquer son coup, essayant de se détendre après cet épisode puis repris sa ronde, se demandant quels autres rebondissements cette nouvelle année allait lui réserver.