Fin de soirée au bord du lac

Pas besoin de se déplacer en catimini en cette soirée du nouvel an, pour une fois. Je descendais les grands escaliers depuis le septième étage, et arrivais dans le hall sans avoir croisé un seul professeur ni un seul préfet. Ils devaient avoir lâché l'affaire pour cette nuit, ou bien cuvaient déjà l'hydromel des Trois Balais...
Même les grandes portes n'étaient pas bâclées.

Le temps de faire un détour dans mon dortoir pour prendre un gros pull, et les portes n'avaient pas bougé d'un iota.

Dehors la nuit était glaciale.

Cette soirée dans la salle commune des Gryffondor n'avait rien n'apporté de bon à Gerdos. Il était sortie de cette soirée stupide sans même regardez derrière lui et sans regret. Il préférait largement sentir la neige sous ses pâtes et l'aire frais sur son visages.

Le château était désert pendant les vacances mais le peut de personne qui restait était tous partie en ville ou il étaient tous à cette soirée stupide. Le centaure arriva au bort du lac en quelque minutes seulement.

Non d'un chaudron ! Qui avait laissé cet énorme tas de crottin en plein sur le chemin du lac ? Encore un peu, et j'y plongeais le pied jusqu'au dessus du soulier. Encore heureux que l'odeur m'ait sauté au nez !

Le lac scintillait entre les arbres et j'arrivais rapidement sur la rive. Une grande ombre se découpait dans la lumière de la lune... le plus-que-probable responsable de la bouse rencontrée plus haut.

Gerdos se pensait seul dans le coins mais, il entendit des bruis de pas derrières lui. Pourquoi ses humains se sentait ils obligé de traîné ainsi en pleine nuit. Il se retourna et il vit une une adolescente de Poufsouffle au vu de son écharpe.

- Que fait tu ici! Le centaures n'était pas d'humeur à apprécié la compagnie d'un humain mais, si il voulait réussir à finir cette année à Poudlard il devait lui aussi faire des efforts. Pardonne moi mais, je ne serait pas d'une excellente compagnie ce soir.

Génial, un centaure. C'est pas franchement réputé pour être de la plus sympathique compagnie ces gens-là. Un rien susceptibles...

- Je promène mon crapaud.

Et je m'accroupis effectivement pour laisser Merry rejoindre l'eau du lac.

Les humains avait vraiment de drôles d'idée parfois. Mais c'était la première fois que Gerdos vit une humaine s'occuper aussi bien d'un simple crapaud. Elle s’installa au rebord du lac pour laisser son crapaud se promener ce qui fit sourire le centaure.

- Il s'appelle comment ton petit crapaud? demanda t-il en essayant de se monter aimable. Il me semble que laissez se promener ainsi une créature aussi petite peut se montrer tragique pour elle.

Ce n'était pas la première fois qui utiliser autant d'effort pour se montrer courtois et aimable envers un humain mais, jusqu'à présent cette méthode n'avait aucun succès.

- Merry. Il s'appelle Merry.

Les efforts du jeune centaure pour maintenir la conversation étaient visibles et appréciables.

- C'est un drôle de petit crapaud, tu sais. Il lui arrive de passer un jour ou une semaine sur les rives du lac, et puis il revient dans la salle commune, se cacher parmi les plantes. Et l'hiver, il aime s'enterrer dans les grands pots dans les serres. Mais il revient me voir tous les deux ou trois jours.
Bien sûr que c'est dangereux pour lui. Mais est-ce qu'il préfèrerait pour autant que je le garde prisonnier dans un vivarium ?

La bestiole était donc en semi liberté? Mais comment pouvait elle être sur qu'il s’agissait toujours du même animal? Gerdos abandonna cette idée quand le crapaud disparue dans les profondeur du lac.

- Quel est ton nom? Le centaure se rapprocha de la jeune humaine tout en se grattant sa petite barbichette. Sa sera plus simple pour continuer notre échange, sauf si tu préfère que je t'appelle petite humaine.

Il tendu l'un de ses bras en direction d'un grand arbre creux. Il en sortit un arc et un carquois remplie de flèche.

Fascinant... il sortit d'un arbre creux un arc aussi grand que moi... Pas étonnant qu'il me nomme petite humaine.

- Enid Leniffleur. 5 pieds et presque 3 pouces. Ce n'est pas si petit pour une humaine. Et toi ?

la nuit se fessait de plus en plus fraîche mais, le centaure ne ressentait pas cette fraîcheur. Gerdos mit son arc et son carquois autours de son coup et se rapprocha de plus en plus de la jeune femme.

- Je me nomme Gerdos, tout simplement. Il lui tendit l'une de se mains tout en souriants. C'est comme ça qu'on se salut chez les humains non? Il devait se montrer le plus gentils que possible si il voulait pouvoir continuer ses études à Poudlard.

Je serrais la main qu'il me tendait.

- Oui, on peut aussi se saluer d'un signe de la main, quand on est trop éloigné.

J'agitais ma main comme pour saluer quelqu'un à l'autre bout du lac.

- Ou bien se faire la bise entre proches.

Je mimais une embrassade amicale avec un ami imaginaire.

- Ou encore...

Une expression de dégoût apparut sur le visage du centaure, se faire la bise pour se saluer? Mais quel horreur! Un tel échange était inutile chez les centaures et qui plus ai Gerdos n’accepterais pas de ce faire touchez l'une de ses joue par n'importe quel lèvres.

- Les humains son vraiment répugnant. Il restait tout de même attentif à la suite de la conversation. La jeune femme semblait vouloir lui dire quelque chose

Répugnants, ah oui ? Il allait voir ce malotru !

- Ou encore comme ça !

Je sautais sur la souche collée à l'arbre creux, attrapais Gerdos par sa barbichette d'une main pour rapprocher son visage du mien, par la nuque de l'autre pour ne pas lui laisser le choix, et lui roulais une de ces galoches ! Je risquais la mort juste pour une blague, mais il fallait bien lui donner une leçon de choses, à ce centaure !








HRP : plus jamais un gage dans ce genre-là, Enid est une fille respectable, non mais !

Gerdos n'avait pas eu le temps de réagir. Une humaine venait de l'embrassez! Il recula tout en soulevant son corps massif pour se retrouver sur ses deux pattes arrière tout en agitant celle de devant. Il expulsa l'humaine de son podium avec violence et colère.


- Tu n'aurait pas du faire ça! S'écria t-il tout en encochant une flèche sur son arc.

Il pointa le boue de la flèche sur sa cible, il voulait la tuée pour ce geste impardonnable. Comment une humaine avait put osez faire cela. Il tendit la corde de son arc et la lâcha directement. La flèche traversa la distance en quelque seconde avant de quelque chose la dévie de sa trajectoire.

D'autre centaures venait en courant dans leur directions. L'un deux poussa Gerdos pour l'éloigner tout en lui disant.

- Tu est fou! Tu ne va tuée une humaine sur leur territoire! Sdery ira voir la représentante humaine pour lui faire part de cette affronts mais quand que cette humaine ne rentre pas sur notre territoire tu ne peut rien lui faire!

Par représentante le centaure voulait parler de la directrices, mais rien ne laissez croire qu'elle prendrait une décision exemplaire.

Propulsée à terre par les coups de sabots, je n'en menais pas large.
Sa flèche dévia à une cinquantaine de centimètre de moi et se planta juste à côté dans le sol. Une dizaine de centaures s'interposèrent et éloignèrent Gerdos.

Quitte à risquer ma vie, autant y aller franco, je passerai de toute façon un sale quart d'heure chez la directrice pour avoir un tantinet provoqué Gerdos.
Toujours assise le derrière dans le tapis humide de feuilles mortes, je hurlais ma rage aux centaures qui repartaient au galop vers leur territoire.

- Vous avez accepté d'aller à la rencontre des humains, mais pourtant vous refusez ce que nous sommes !

Le groupe de centaures s'éloigna en emportant Gerdos pour éviter un incident entre les deux peuple. Seul un centaure restait sur place, il s'agissait du fameux Sdery. Il était bien plus vieux que Gerdos, il avait un pelage blanc et il était deux fois plus larges que Gerdos.

- Tu ne peut pas comprendre ma petite. Dit il en s'adressant à la jeune femme. Les sorcier et les centaures on des désaccord depuis la nuit des temps. Tu ne peut rien faire face à certain préjugé. Sdery s'avançait doucement tout en souriants. Gerdos n'est pas mauvais mais il à acceptait de se mélangé à vous pour nous permettre d'obtenir un bout de territoire supplémentaire et éviter une guerre qui nous opposerait au loup.

Il aida la jeune femme à ce relever tout en souriant. Il devait la ramener au château pour éviter que Gerdos ne revienne à la charge et pour faire part de cet incidents à la directrice.

- Je doit te dire tout de même que l'embrasser n'était pas le meilleur moyen de t'en faire un amis.